750 grammes
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Journal d'un passionné de la rive droite
15 septembre 2020

Pommard : Vaudoisey-Creusefond : Les Poutures 2005, CDP : La Janasse Chaupin 2006, Puisseguin : Fleur de Roques 2018

Les vins commentés ce jour sont ceux qui ont été placé sur la thonine et le veau.

La thonine et son crumble de chorizo sont un exemple de ce qui se fait le mieux dans les alliances terre/mer pouvant aller avec les vins rouges.

La cuisson est al dente, parfaite, rendant la chair du poisson fondante, et le goût marin est subtilement marié au jus du homard et au chorizo

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Le Fleur de Roques 2018 a été servi pour être placé sur le dessert. Incongru mais excellent! Car le vin respire l'eucalyptus, la menthe, le fruit croquant et au final la réponse donnée par le dessert n'en a été que plus généreuse en saveurs!

Un grand dîner! dans un restaurant digne d'un étoilé.

 

 

Pommard : Vaudoisey-Creusefond : Premier Cru : Les Poutures 2005

La robe est très soutenue à assez profonde de couleur rubis à grenat. Le bouquet évoque les cerises associées à de petites baies noires, les épices douces, avec des notes florales et légèrement réglissées. La bouche est puissante, avec un enrobage des tannins par une chair fine, énergique dans un milieu de bouche fruitée. La finale est allongée avec une sensation de tannins fermes et impactants, fraîche, d'une bonne expression aromatique. Noté 15,5 voir un peu plus, compte tenu de la jeunesse de cette bouteille, note plaisir 14.



Châteauneuf du Pape : La Janasse : cuvée Chaupin 2006

La robe est profonde de teinte sanguine. L'olfaction est expressive avec des arômes de cerises légèrement kirschées et de petits fruits noirs associés, d'épices variées, de fines réglisses, et d'élevage élégant pas encore entièrement fondu en arrière plan. L'attaque offre une chair délicate et veloutée, le vin se développe dans un centre plein d'une bonne densité rehaussé de fruits finement épicés et avenants. La finale est soutenue, d'un bon équilibre et d'un bon maintien, avec une très légère astringence et amertume en ultime sensation. Noté 16 voire un peu plus, même note plaisir. Une bouteille très peu évoluée sortie de la cave de notre hôte.



Pour remplacer une bouteille de Léoville Poyferré 2001 nettement contaminée par les ethyl-phénols, nous dégustons encore à l'aveugle



Puisseguin : Château Fleur de Roques 2018

bouteille issue d'une tête de mise, conservée par Joseph et bien aérée

La robe est profonde, sanguine au bord du verre. Le nez est intense avec des arômes de cerises "burlat", de mûres sauvages, de fines épices douces, des notes florales (roses et violettes) et un élevage distingué bien en retrait. La bouche est dense, d'une élégante concentration naturelle (argiles) bien en chair veloutée et fruitée. La finale est longue, d'un bon maintien, fraîche, avec une texture restant veloutée, expressive et persistante. Noté 16,5, même note plaisir

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