
Les plaisirs de la table et de la discussion justifient toujours assez que se succèdent les plats. Les mises en bouches et les deux entrées n'ont donc pas suffi. J'ai servi une selle d'agneau, parfumée au jus de truffe, puis un Saint Nectaire. C'est une poire farcie à la pistache et marinée dans du sirop de mangue qui ont clos ce repas, et qui ont accompagné le Lafaurie-Peyraguey 1986.
Sur les précédents plats, le Cos d'Estournel 2002 s'est montré ravageur, superbe, boule de nerfs toute maîtrisée, aux parfums...
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