Journal d'un passionné de la rive droite

Les lecteurs anglophones pourront lire les chroniques du blog en anglais, avec 72 heures de décalage, ici ( http://www.webflakes.com/diary-of-a-lover-of-the-right-bank.html) Voici la suite des commentaires des vins dégustés à Bu Baravin, après quelques précisions sur la cuvée Alios de Sainte Marie Le château Saint Marie est situé, sur la commune de Targon dans l’Entre-Deux-Mers, à proximité de la commune de La Sauve.  Il s’agit d’un vignoble de 24 hectares, qui est en quelque sorte, le vignoble historique de la propriété.... [Lire la suite]

Après la journée passée à parcourir Sauternes et Barsac, Alex nous invite à dîner chez lui, autour d’une grillade de bœuf. Isabelle élabore une terrine de poulet au pesto en entrée, et crumble de pommes au dessert. Anna et nos accompagnatrices chinoises sont de la partie. La soirée, conviviale, et pleine de rires, est animée au son des langues chinoise, française, et anglaise qui sert de lien commun entre le chinois et le français, ce qui n’est pas surprenant. Nous échangeons sur les modes de vie de nos différents pays. Alex nous... [Lire la suite]

Lors d’un dîner avec un ami nordiste, qui était venu faire des vendanges en rive droite, j’ai ouvert le premier vin commenté. Cette bouteille a été mise en carafe trois heures avant la dégustation, et a accompagné un filet mignon aux cèpes. La bouteille a été bue, dans la soirée, et le vin s’est bien goûté même s’il peut encore être attendu un peu pour offrir tout son potentiel.         J’ai souhaité voir où en était Cos Labory 2000, après avoir eu un écho favorable d’une personne qui l’avait bu, après... [Lire la suite]

Après avoir ouvert, il y a quelques mois un Cos d’Estournel 2002, qui s’était fort bien présenté, je continue à approcher le millésime 2002 en rive gauche. Un millésime de bonne à très bonne qualité, sur cette rive, selon les appellations. On oublie souvent que le printemps frais et relativement pluvieux a provoqué de la coulure et même du millerandage lors de la floraison, ce qui a eu pour effet de réduire les rendements, et qu’un très bel automne chaud la journée, et frais la nuit a permis d’obtenir de très bonnes maturités des... [Lire la suite]

  Le millésime 2004 à Bordeaux peut être qualifié d’océanique, avec un cycle végétatif long, un été plutôt frais, et un automne assez sec, qui a permis d’obtenir de bonnes maturités, pour ceux qui ont la patience nécessaire. La vigne a réagi à la grande sécheresse de 2003, en produisant beaucoup de raisins, dont il a fallu faire tomber une grande partie pour éviter des phénomènes de dilution, et élaborer des vins suffisamment charpentés. Les vins de la rive droite sont aujourd’hui accessibles et commencent à offrir un bon... [Lire la suite]

  La dégustation se termine par la présentation de deux vins liquoreux. Le premier est issu de l’appellation « Sauternes », il a divisé la critique, lors de sa dégustation, après la mise en bouteille. Certains commentaires pointaient un manque d’équilibre, pour un vin trop riche et trop opulent. Le facteur temps (vieillissement dans une bonne cave) reste un élément prépondérant, pour que les vins de Sauternes nés d’un millésime riche trouvent un bon équilibre, qui ne paraît pas toujours satisfaisant dans leur jeunesse.... [Lire la suite]

  Le thème choisi a conduit les participants à ne proposer que des vins bordelais. Les trois vins suivants, toujours présentés à l’aveugle, dans les mêmes conditions que celles décrites hier, sont par pur hasard issus de la même appellation : Saint Julien Si, dans l’ensemble, les impressions de dégustation, et l’évaluation des vins  ont été plutôt homogènes, le second vin commenté aujourd’hui est celui qui a suscité les avis les moins consensuels. Il lui manque, pour ma part, une maturité suffisante des Cabernets... [Lire la suite]

  Un de nos amis organise, mensuellement, des dégustations à l’aveugle autour d’un repas avec quatre ou cinq convives. Chacun apporte quelques flacons qu’il fait goûter aux autres, et peut ainsi recueillir leurs impressions. Nous ne sommes pas assez nombreux pour fonctionner en aveugle totale, ce qui obligerait chacun de nous à préparer successivement la dégustation et serait, alors, un peu frustrant pour le préparateur. Le thème choisi pour cette séance était les vins d’assemblage français d’un millésime antérieur à 1995. Les... [Lire la suite]

Le premier vin commenté a été dégusté sur une durée de 48 heures en guise d’apéritif, servi avec quelques amuses-bouches assez simples à base de charcuterie, et de légumes frais. Le deuxième vin blanc, que j’avais goûté à l’aveugle en juin dernier, et que j’avais apprécié, a été redégusté et bu avec des plats de poisson sur une durée de 72 heures. Un accord a été très réussi avec des filets de sole  à l’orange. La finesse du vin et celle du poisson ont joué à l’unisson, quant aux associations de saveurs, elles ont été évidentes. ... [Lire la suite]

Lors de la visite d’un ami qui nous a fait le plaisir de déjeuner avec nous, nous avons ouvert le premier vin commenté, qui a accompagné les mets suivants : galantine de canard aux noisettes, terrine de ris de veau à l’orange. L’accord a été réussi, et l’alliance des plats et des vins fut un véritable plaisir. Le deuxième vin a été dégusté, avec des mets à base de viande sur une partie de la semaine, en jouant une bonne partition. Je rappelle que les vins sont toujours goûtés pour eux-mêmes, avant d’être servis à table. Ils... [Lire la suite]