
La crise identitaire du vin français bâtit, de part et d'autres des deux instances que sont les professionnels et les amateurs, des postes d'observations à l'instar de miradors nantis des plus puissants projecteurs pour débusquer l'erreur, le faillible, bien évidemment l'impardonnable.
A ce jeu-là, les amateurs sont gagnants; hypothèse heuristique selon laquelle ces derniers s'affranchissent, en vertu même de leur statut de non-professionnel, de toute légitimité et responsabilité. Ils s'accordent bien évidemment un droit à...
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