Journal d'un passionné de la rive droite

Dégustations de vins, visites de domaines, et accords mets/vins


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15 janvier 2013

Noël à Beaurain : Les Murgiers, Cuvée "Samain", Hengst de Josmeyer.

Les lecteurs anglophones pourront lire les chroniques du blog en anglais, avec 72 heures de décalage, ici ( http://www.webflakes.com/diary-of-a-lover-of-the-right-bank.html)

 

Le menu du réveillon de Noël a été entièrement composé  par la mère de mon épouse. Il est donc difficile d'expliciter les recettes.

 

Il s'est agi de quelques mises en bouche

 

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Certaines faites maison, d'autres achetées chez un traiteur

 

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Pour l'entrée, une composition terre/mer, avec foie gras, rouget sur une confiture d'échalotes, mousse de saumon fumé sur des lanières de concombre.

 

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Le plat s'est composé d'un grenadin de veau, avec une sauce au vin, lentilles sur une crème de cèleri et topinambour, et mousse de vitelotte.

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Une assiette gourmande pour terminer... avec un baba au rhum maison extraordinairement bon...

 


Seuls deux vins ont accompagné le repas : Champagne pour un repas tout au Champagne, les accords fonctionnant très agréablement et le Hengst pour mon épouse, globalement peu adepte du Champagne.

 

Champagne Francis Boulard et fille : Les Murgiers  Extra Brut

Les Murgiers

 

Dégorgement : 03/09/2012

La robe, d’une couleur or léger, laisse entrevoir un cordon de bulles très fines. Le nez, ouvert et avenant, évoque les fruits blancs, nuancés de notes de fruits secs, d’agrumes, et florales. La bouche est délicate et très veloutée, en attaque, le vin prend de la consistance, du pep, de la densité, dans un centre rehaussé de fruits expressifs. La finale est très persistante, tonique, fraîche, bien dessinée, avec des saveurs fruitées, d’amande, et de légères viennoiseries. Noté 16,5, même note plaisir

Alsace : Josmeyer Hengst cuvée Samain 2008

 

 

 

 

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La robe offre une teinte or léger. L’olfaction est assez fermée, avec de discrets arômes de fruits jaunes, et quelques notes naphtées. La bouche est riche, dense, très charnue, presque grasse, d’une belle douceur tactile, profonde, puissante, agrémentée de fruits jaunes ( mirabelles) plus expressifs qu’à l’olfaction. La finale est très persistante, fraîche, pure, harmonieuse, sur un équilibre quasiment sec, rehaussée par des saveurs, d’oranges, de mandarine ( peaux et pulpe), avec des notes salines nettes. Note potentielle 18/18,5, note plaisir 16 (pour la remarquable bouche). Un grand vin de garde, à attendre.

 

Posté par Daniel S à 00:01 - Accords mets/vins - Commentaires [0] - Permalien [#]

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