
Les différents coquillages que j'ai préparés ont été cuisinés selon deux objectifs : aborder un repas avec des parfums multiples et anticipateurs des autres mets à venir, et convenir au champagne : le Bollinger, Spécial Cuvée.
Les amandes, les palourdes et les coques ont été cuites à la vapeur, et j'ai garni les coquilles d'une mirepoix à base d'oignon et de navet, aromatisée à l'aillet (ail des ours) que j'ai eu la chance de trouver au marché de Libourne.
Un bel accord avec le vin, en raison de la finesse des parfums, peu...
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